Correspondances comme un roman Le Nil, souvent, a l’air d’un lac. On est emprisonné par des coudes. On ne sait pas de quel côté on va, et comment on pourra sortir. La chaîne arabique généralement est une haute falaise blanche. The Nile often looks like a lake. We are imprisoned by its bends. We don’t know in which direction we’re going or how to come through it. The Arabian chain is mostly a tall white cliff. GUSTAVE FLAUBERT Voyage en Orient, 1850