Mayra Martell dans le dancing Salón Los Ángeles, à Mexico Robe en dentelle noire «Je n’ai jamais rencontré Mayra, mais j’ai découvert grâce à Elena Navarro et voile de coton imprimétoile de Jouy écru et noir,tout le travail documentaire qu’elle effectue sur Ciudad Juárez. Elle n’a pas choker cheval Diorodéo froid aux yeux et n’hésite jamais à prendre des risques pour ses sujets. Il faut et bracelet Dior Trèfle en un certain courage pour s’attaquer à ce genre de projet tout en allant à l’en- métal vieilli finition dorée, contre des stéréotypes. Ses interlocuteurs s’étonnent souvent de sa féminité, Dior. Collier et bracelets convaincus qu’une femme qui réfléchit ne doit pas se maquiller. Mais elle personnels. refuse de changer qui elle est, et poursuit sa carrière avec succès. C’est d’ail- leurs le dénominateur commun à toutes ces femmes, elles ne compromettent jamais leur identité, même si, depuis leur naissance, elles entendent sans cesse cette petite musique : pour atteindre son but et avancer, on nous inculque qu’il nous faudra changer. Il est surtout grand temps de changer les choses.» Née en 1979 à Ciudad Juárez. Photojournaliste engagée, elle développe des projets de grande envergure axés sur le tissu social de son pays et de ses voisins. Elle s’intéresse notamment à la thématique de la disparition et aux conflits civils d’Amérique latine. 177