Destinée à paraître dans la presse quotidienne Sydney et s’il y est revenu ensuite sur une base différente… en Belgique, en septembre 1975, cette annonce illustrée, et en prenant tout son temps. Le voici enfin, ce Tintin attribuée aux Studios Hergé, prend bien soin de et les Picaros tant attendu. « Tintin revient, Mille Sabords ! » préciser que « Tintin revient ». Et en effet, on pourrait s’écrie Haddock, comme s’il n’en revenait toujours pas. même dire qu’il revient de loin : voilà plus de sept ans, « Ah ! Je ris… ! », chante la Castafiore, qui pourtant ne sera en effet, que le journal Tintin a publié la dernière pas à la fête dans cette aventure. Tintin paraît un peu page de l’épisode précédent. Et encore ! Si les lecteurs effacé, entre Tournesol et Alcazar, au milieu du groupe savaient que « la plus époustouflante des aventures » hétéroclite qui s’agite à l’arrière-plan. Le lecteur jugera s’il du héros a mis une douzaine d’années à se réaliser ! l’est un peu ou beaucoup. À voir l’annonce, il se demandera Mais qu’importe si Hergé l’avait imaginée dans la foulée aussi qui sont ces espèces de déguisés qui mènent des Bijoux de la Castafioresous le titreTintin et les la danse et ce que vient faire dans cette histoire l’ineffable Bigotudos, s’il l’a délaissée pour élaborer Vol 714 pour Séraphin Lampion, subitement mis en lumière. 1202 – trasniluoM/égreH ©