CULTURE DESTINATIONS REGGIO EMILIA Pour la première fois depuis son ouverture au public en 2007, la Collezione Maramotti, installée dans l’ancienne usine du groupe réaménagée en musée, réorganise l’accrochage de son fonds permanent. Initiée par Achille Maramotti, fondateur de la maison Max Mara, cette collection d’art, qui compte quelque 600 œuvres majeures, de l’après-guerre à nos jours, est en partie présentée au public, sur rendez-vous.O.R. For the first time since it opened to the public in2007, the Collezione Maramotti is reorganizing its permanent collection. Initiated by Achille Maramotti, founder of the Max Mara label, the endowment comprises some 600 major works from the past 75 years, a selection of which can be viewed by appointment. HONOLULU Ci-dessous : Systemus Postnaturalis, Kristof Kintera, 2016. L’art contemporain comme mode de dialogue “REHANG ”, à partir du 3 mars, Collezione Maramotti, Via interethnique mais aussi outil de travail sur la mémoire Fratelli Cervi 66, Reggio Emilia, Italie. collezionemaramotti.org d’une culture. C’est l’ambition de cette deuxième édition de la Biennale de Honolulu qui convoque les travaux d’une vingtaine d’artistes hawaïens et d’une trentaine venue de la vaste zone du Pacifique, Asie et Amériques comprises, à investir une dizaine de sites sur l’île. L’occasion de revisiter l’histoire de ces lieux, porteurs des savoirs indigènes. O.R. Contemporary art as a medium for interethnic dialogue and a tool for cultural memory: this is the premise behindthe second Honolulu Biennial. Works by some 50 artists canbe seen in multiple sites around the island, offering an opportunity to reflect on the history of places associated with indigenous knowledge. Ci-dessus : Habitat (vidéo), Taloi Havini,2017. “TO MAKE WRONG/RIGHT/NOW”, Biennale 2019 de Honolulu, du 8 mars au 5 mai, Honolulu, Hawaii. honolulubiennial.org MARRAKECH La critique par les artistes de la société de consommation n’en a pas fini de se réinventer. Cette exposition en témoigne, à travers les œuvres d’une trentaine d’artistes du continent africain – Frances Goodman, Malek Gnaoui, Cyrus Kabiru… – qui puise dans cette culture du détournement d’objets du quotidien, voire des déchets qui en résultent, pour questionner l’éternel besoin de matérialité.O.R. Artistic criticism of consumer society continues to adopt new modes of expression. At the MACAAL, some 30 artists from the African continent (Frances Goodman, Malek Gnaoui, Cyrus Kabiru…) find ways to reuse everyday objects and waste products to challenge the en dless need for material gratification. Ci-contre : Macho Nne Mount Kenyan Music, Cyrus Kabiru, 2017. “MATERIAL INSANITY”, jusqu’au 22 septembre, Musée d’Art Contemporain Africain Al Maaden (MACAAL), Sidi Youssef Ben Ali, Marrakech, Maroc. macaal.org AIR FRANCE MADAME / 75 - ANAVAH DNA ,SNILUOM SEL,GNIJIEB ,ONANGIMIG NAS ,AUNITNOC AIRELLAG DNA ;LUOES DNA ,GNOK GNOH,KROY WEN ,NIPUAM NNAMHEL ,DRAW IRAN FO YSETRUOC/THGINK SALOHCIN SOTOHPYRELLAG CAMS TE URIBAK SURYC FO YSETRUOC – INIVAH IOLAT FO YSETRUOC – INGASAL OIRAD/ARETNIK FOTŠIRK – NNAMFUAK NAED -YRELLAG CAMS DNA URIBAK SURYC – INIVAH IOLAT FO YSETRUOC