top flop Locaux commerciaux : une diminution forte de la vacance et des impayés En 2024, la direction vente et syndic a opéré une remise à... Des ventes HLM soutenues, mais une plus-value globale à la baisse Après une année 2023 marquée par le ralentissement de... top flop en chiffres Muriel Chetaille Directrice du service exploitation du patrimoine Lire la suite Lire la suite Lire la suite Lire la suite FOCUS PROJET D’ENTREPRISE « Développer un programme ambitieux de réhabilitation du parc existant au bénéfice des filières locales » « Depuis deux ans, nous concentrons nos efforts sur la réhabilitation des F&G, avec succès puisqu’il n’en reste « plus que » 680 dans le parc. Pour près de 500, les travaux de rénovation sont en cours ou vont être lancés dans l’année. Mais c’est presque la partie la plus difficile ! Les logements qui restent sont de plusieurs types. Nous avons tout d’abord des logements situés en altitude, en moyenne montagne ou en station, parfois à 1800 m. Pour atteindre des performances acceptables, on ne peut pas procéder comme pour un logement en plaine. Certains groupes sont d’ailleurs relativement récents, avec une enveloppe correcte – et pourtant un niveau de performance insuffisant. La phase « études » est primordiale pour trouver la bonne solution : sur-isoler, innover sur le mode de chauffage… c’est ensuite important de travailler avec des partenaires qui connaissent ce type de bâtiments, qui vont être force de proposition. Le réseau local est essentiel, nous travaillons également avec des architectes locaux. Une autre partie de ces logements se situe en copropriété. La difficulté dans ce cas n’est pas nécessairement technique. On s’inscrit dans une dynamique et dans un temps différents. Nous travaillons avec les syndics et les autres copropriétaires qui n’ont pas la même capacité que nous bailleurs, à investir. Il y a des aides à mobiliser, comme le programme Mur Mur de Grenoble- Alpes Métropole. Enfin, les quelques logements restants sont des logements individuels ou de tous petits groupes. C’est un travail de fourmi, sans recette toute faite à appliquer d’office. Voir les projets passer progressivement de la phase étude à la phase chantier est une satisfaction à chaque fois ! »