SPONSORISÉI 18 [...] les taux d’intérêts restent néammoins très bas et la période demeure propice aux achats immobiliers. La crise sanitaire qu’a traversée la France ces dernières courtiers d’Empruntis L’Agence rappellent à leurs clients que la crise semaines a entraîné une légère hausse des taux d’intérêts n’a en rien diminué la demande de logements. On reste en fl ux tendu des emprunts bancaires. Ils restent néanmoins très bas et il ne faut pas s’attendre à une chute des prix de si tôt ! Alors si les et la période demeure propice aux achats immobiliers. conditions sont réunies, n’attendez pas pour acheter. Explications avec Florent Cabesos, expert en courtage chez Empruntis L’Agence. Certaines banques préservent leur marge avec cette sensible hausse des taux d’intérêts ou en étant plus vigilants sur certains secteurs d’emploi, particulièrement touchés par la crise sanitaire. C’est Si en période de confinement, nous avons enregistré une hausse d’ailleurs l’avantage de faire appel à un courtier pour sécuriser son des taux d’emprunt, ces derniers sont aujourd’hui plus proches dossier face aux banques. Chez Empruntis L’Agence, nous maintenons de ce qu’ils étaient fin 2018. Au final, nous constatons une hausse la qualité de notre accompagnement, la disponibilité en plus, depuis très sensible, ce mois-ci, entre 0,05 % et 0,10 % en moyenne - la crise. En eff et, nous assurons toujours 1/3 de nos rendez-vous contre 0,2 % pendant la crise. La variation est très légère, et physiques – nous y sommes notamment contraints pour vérifi er les taux d’intérêt restent très bas. Néanmoins, une minorité certaines pièces justifi catives – y compris lors du rendez-vous avec d’établissements bancaires s’inscrit en marge de cette tendance, la banque. Pour ceux qui favorisent la signature électronique, nous en proposant des taux en baisse. avons mis en place un système visioconférence qui facilite la prise de rendez-vous à distance, tout en nous permettant de projeter les documents et relire les off res en direct ! L’augmentation des taux d’intérêt réduit légèrement le pouvoir d’achat des ménages, de 5 % environ. Par exemple, sur un budget global de 200 000 €, cela correspond à 10 000 €, il faudra donc revoir les critères d’achat : une chambre en moins, pas de garage, un jardin plus petit... ou une mensualité un tout petit peu plus élevée. Mais les futurs propriétaires ne doivent pas pour autant faire une croix sur leur projet ! Actuellement, les profi ls les plus sensibles sont peut-être les investisseurs, pour qui il n’était pas rare d’accorder un prêt malgré un taux d’endettement légèrement supérieur aux 33 % règlementaires. Aujourd’hui, les banques sont fermes sur ce critère et mieux vaut prendre un nouveau rendez-vous avec son courtier pour valider ou revoir les projets. Mais cela ne concerne pas la majorité des cas. Totalement ! Malgré une légère hausse, les taux d’intérêts bancaires restent très bas. A titre de comparaison, un dossier solide présenté il y a 6 ans, débouchait sur un taux d’environ 3 %, aujourd’hui, il reste inférieur à 2 %. Quant aux prix de l’immobilier, les DV2554260002