MON PARCOURS DANS MÉZIDON - VALLÉE D’AUGE C’est par les commerces qu’on prend le pouls des villes. L’ouverture d’un café ou d’une épicerie exerce sur le grand corps urbain un effet stimulant, d’autant plus vif que la dose — le nombre d’enseignes, non leur taille — est concentrée. Une rue qui vit, c’est une rue où le petit commerce suscite du mouvement, où la sonnette à l’entrée des magasins retentit souvent : une note aiguë qui dérange, mais dont la présence manque, si elle se tait ; moi-même, je porte le deuild’un carillon de boulangerie entendu dans mon enfance. OCTOBRE ROSE À MÉZIDON 8 CARNETS DE MARCHE . MÉZIDON-VALLÉE D’AUGE