850 000 Pour la promotion de l’Œuvre autocollants, premier L’ensemble des dépenses 2017 s’élève à près de 190 000 ¤ pour la collecte, vecteur de dons la communication, et la boutique. sur la voie publique 16 952 col lectes ont été organisées sur l’année partout en France et à l’étranger, et près de 30 000 bénévoles ont pu bénéficier du soutien 16 952 logistique de l’ONBF, afin de distribuer : n 850 000 autocol lants, premier vecteur de dons sur la voie publique ; collectes ont été n 150 000 nouvel les fleurs du Bleuet de France ; organisées n 150 000 bul letins d’information, d’appel au don et au bénévolat. sur l’année partout en France et Ce soutien se traduit aussi par la valorisation du Bleuet (en mai et en à l’étranger novembre) sur près de 55 000 emplacements urbains offerts par les mairies et les régies publicitaires partout en France et l’envoi de 500 fleurs et d’un dossier de presse aux médias (chaînes de tv, journal istes, commentateurs sportifs…). Benoit Luc, 32 ans, Coordonnateur Mémoire et Communication en Bretagne, chargé de mission «Sports et Mémoire». Arrivé en 2011 à l’ONACVG, mon rôle consiste à accompagner les directeurs des services départementaux dans la réalisation de projets innovants autour de la mémoire des conflits contemporains. En 2013, le département de la mémoire et des hauts lieux de la mémoire nationale m’a confié une mission nationale « Sports et Mémoire ». Avec Antoine Rodriguez, directeur du service départemental d’Ille-et-Vilaine, de nombreux projets ont vu le jour tout au long des cinq dernières années tels que des hommages à des sportifs disparus dans des stades, la promotion de l’Œuvre nationale du Bleuet de France ou la sensibilisation des centres de formation aux enjeux mémoriels. Peu à peu, ces initiatives ont suscité de plus en plus l’adhésion de nos partenaires locaux et des amoureux du ballon rond. Cela nous a incités à les décliner en élargissant leur périmètre d’action. L’ensemble du territoire est désormais concerné et d’autres sports sont investis au-delà du football comme par exemple le rugby ou le tennis. Je pense que le sport est un vecteur mémoriel fort car il permet de toucher un public de tout âge, toutes origines et toutes catégories socioprofessionnelles, y compris et surtout, les jeunes. Ainsi, l’Office me permet d’allier mes deux passions : l’histoire et le sport. Quand j’évoque l’Office autour de moi, je rappelle son histoire et son rôle auprès de ses ressortissants depuis plus de 100 ans mais j’insiste surtout sur sa capacité à se moderniser en accordant notamment sa confiance à ses équipes sur le terrain. J’apprécie l’autonomie qui m’est laissée pour mener des projets mémoriels novateurs et ambitieux. RAPPORT D’ACTIVITÉ 2017 / BLEUET DE FRANCE 41