Le Congrès réclame un cadre public de gestion et s’oppose à toute externalisation sans garantie sur les conditions de travail, la sécurité des agents et des usagers, ainsi que la fluidité de la communication entre les services interministériels. Concernant la maintenance et la gestion financière des bâtiments administratifs, le Congrès s’inquiète du calendrier imposé de fermeture des comptes de commerce des administrations prévue au 31 décembre 2025 et demande la transparence sur le processus de sélection des prestataires. Il réaffirme que la responsabilité financière de la gestion des cités administratives doit rester sous l’autorité des préfets, avec l’appui technique et budgétaire de la DGFIP.