La mode vegan de Stella McCartney Véritable activiste, Stella McCartney a choisi de défendre la mode bio et vegan en faisant rimer technologie avec durabilité. Pas de fourrure ni de soie, mais un sourcing ultra-sélectif de coton bio, laine et cachemire, de la viscose issue de forêts éco-gérées et de la recherche pour créer de nouvelles matières respectueuses de la planète et de l’environnement. Elle remet au goût du jour le « Clevercare » et distille ses conseils afin de conserver le plus longtemps possible ses vêtements. Recoudre un bouton, laver à bonne température… Un peu de bon sens suffit pour que certaines pièces durent toute la vie. L’objectif ? Réduire sa consommation et donc son impact sur la planète. Le combat de la créatrice british ne s’arrête pas à l’environnement. Récemment, ses campagnes publicitaires montraient un enfant atteint de trisomie 21, un nouveau pas pour témoigner que seuls les vêtements ont des étiquettes. Tannage végétal, caoutchouc naturel et transparence Côté cuir, les marques aussi et de notre époque. C’est aussi un produit qui se bougent. En enfant comme cristallise les enjeux de la mondialisation par en femme, le tannage devient sa production, sa diffusion et son usage. » majoritairement végétal. Veja décide de supprimer la publicité de sa stratégie pour réduire ses coûts. « En renonçant à la publicité, on peut créer des Exit les finitions chrome ultra-polluantes baskets cinq fois plus chères à fabriquer, tout et nocives pour les clients ou les fabricants. en lesproposant au même prix que les grandes Chez Easy Peasy, les bébés peuvent porter, marques. » Cet argent est réinvesti dans le aux pieds comme à la bouche, leurs sourcing des matières premières issues chaussons en tannage végétal assemblés à du commerce équitable, une production la colle à l’eau. Même combat chez Léo et respectueuse de l’environnement, la Violette. Ce créateur parisien de sacs à main recherche technologique et dans une est fier de présenter ses partenaires en Italie meilleure rémunération des partenaires. La ou en Tunisie. Au-delà des matières bio, c’est marque de baskets traite directement avec un cercle vertueux qui s’amorce. ses producteurs de caoutchouc sauvage d’Amazonie et de coton bio, eux-mêmes Qui dit matière bio, dit accompagnés par des ONG qui assurent un fabrication consciencieuse, soutien technique à la fabrication de coton conditions de travail dignes bio et équitable. Les modèles en cuir sont et encore plus de transparence tannés de façon végétale ou en low chrome. La marque développe actuellement de nouveaux pour le consommateur. tissus issus de matériaux recyclés, comme le B-mesh, créé en 2014. Mais l’engagement ne La transparence, c’est tout le combat de s’arrête pas là. Une fois fabriquées au Brésil, la marque de baskets Veja (« regarde » en les baskets continuent leur voyage en France portugais), lancée en 2004 par Sébastien dans une usine d’insertion, partenaire Kopp et François-Ghislain Morillion. « On logistique de Veja. L’entreprise travaille avec a choisi de créer des baskets, parce que c’est des banques qui n’ont pas de paradis fiscaux un produit symbolique de notre génération et, surtout, reconnaît ses limites, qu’elle ne noB neiB uaeB