regards croisés L’adage veut que les voyages forment la jeunesse. Ils forment aussi des avocats tout-terrain ou du moins bi-terrains, capables de travailler entre Paris et l’étranger malgré la distance et les spécificités juridiques locales. À travers les témoignages d’Aline Doussin, basée à Paris et Londres, de Patricia Cuba-Sichler, qui exerce entre Paris et l’Amérique latine à partir de son bureau liménien et d’Antoine Fontaine, premier avocat français à s’être installé à Phnom Penh, c’est le portrait forcément composite d’un pan méconnu du métier qui se dessine. Et la preuve qu’il est possible de concilier la passion de l’exercice et celle de l’ailleurs, un ailleurs où l’on s’enracine sans totalement se déraciner. lire l’article complet Sans frontières