PARTOUT Dans le quartier prioritaire Nantes nord, Vilogia a racheté 202 logements en 2017 et a investi 9,5 millions d’euros dans leur réhabilitation, démontrant sa volonté d’accompagner les politiques publiques. Au centre de Strasbourg et de Metz, des propriétaires privés, confrontés aux besoins de travaux renforcés par l’évolution de la réglementation thermique, se séparent peu à peu de leurs biens. Vilogia rachète chaque année une centaine de logements, les rénove et les convertit en logements sociaux, prouvant sa capacité à accompagner les collectivités dans la réhabilitation du parc privé et à créer du logement social autrement. HABITER LES FRONTIÈRES Du Luxembourg au pays des trois frontières (France-Allemagne-Suisse), le territoire Grand Est compte 800 kilomètres d’espaces dynamiques où la pression foncière est forte. Le flux de jeunes qui trouvent un premier emploi de l’autre côté de la frontière augmente chaque année et Vilogia l’accompagne avec ses résidences spécialement conçues pour étudiants ou pour jeunes actifs. « Vilogia est un vrai partenaire pour Savigny-le-Temple. De construction en rachat, il possède aujourd’hui 900 logements et nous interagissons sur beaucoup de sujets, de l’attribution des logements en bonne intelligence, au travail de réhabilitation, en passant par les potagers d’apprentissage en pied d’immeuble. » Marie-Line Pichery, maire de Savigny-le-Temple GÉRER LE DIFFUS Le rachat à Logirem de 156 logements sur 53 adresses à Marseille, l’acquisition de petits volumes de 4 à 10 logements en cœur de villes moyennes en Nouvelle-Aquitaine, ou encore le patrimoine francilien composé pour un tiers de logements diffus et de petites résidences mixant propriétaires et locataires prouvent la capacité de Vilogia à se démultiplier en restant proche. La réhabilitation en diffus contribue à requalifier les rues et revitalise les centres-villes. Ici, à Pantin (Île-de-France) « Avec le même objectif d’atteindre une taille critique, chaque territoire déploie une politique de développement spécifique : ainsi, à l’Est, une stratégie “frontières”, à l’Ouest, une stratégie “littoral”, ailleurs d’autres stratégies “utiles”. » Emmanuel Joinneau, Directeur national des territoires d’Outre-MEL