MON PARCOURS À ORBEC – PAYS DE L’ORBIQUET Sur les lieux, toutefois, nous n’avons pas utilisé le plan TRAVAUX À ORBEC que j’avais imprimé. À l’heure où nous garons la voiture à l’entrée d’Orbec, la ville flotte dans une brume dense, qui s’allègera au fil des heures. On peut n’y voir qu’un aléa météorologique ou bien, un symbole : le rideau de théâtre qui se lèvera un jour sur une ville rajeunie. Ilest un peu tôt pour faire chanter le marteau-piqueur. Pourtant, une vingtaine d’ouvriers sont déjà à l’œuvre, pilotant des engins, étalant le ciment, calant des pavés. D’un bout à l’autre de la rue Grande, les travaux battent leur plein. 7 CARNETS DE MARCHE . ORBEC – PAYS DE L’ORBIQUET