UEN RE ÊDVÉEC DEENSN SIAE LDAER MIÉS T?ATIONS à bord. Il faut recentrer son rôle sur les missions pour lesquelles il est réellement utile et opérant : une fois que les gens sont malades, oeuvrer pour que le travail n’aggrave pas la maladie, et permettre au salarié de continuer à travailler ; adapter travail et santé de manière dynamique ; ou encore, évaluer les conséquences des politiques de prévention primaire. » Pour le reste, il faut impliquer et faire collaborer les autres métiers utiles à la bonne santé au travail. C’est dans cette optique que William Dab milite pour la création d’une école nationale dédiée. « Contrairement aux pays scandinaves et anglo-saxons, nous n’aons pas en France d’écolev la prévention primaire. « La loi de 2016 crée des de formation en santé au travail, c’est un vrai visites d’information et de prévention, dispensées problème. » L’idée ? Former des profession- par médecins ou infiers. Expliquer les risquesrmi , nels d’un genre nouveau: les « préventeurs et les moyens de les prévenir, devient l’objectif santé » en entreprise. « De nombreux profession- principal. Cela change l’approche! » se félicite nels interviennent en santé et sécurité au travail le professeur Soulat. Seconde nécessité, sortir (médecins, psys, ergologues, RH, managers, etc.), de cette logique médico-centrée au profit d’une mais il manque un chef d’orchestre. Le préventeur approche holistique et pluridisciplinaire. serait quelqu’un qui maîtrise à la fois les logiques « Le médecin du travail ne peut plus être seul d’entreprise et les questions de santé. Il trouverait- 28